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  • : Une famille au bout du monde
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Bienvenue sur notre blog,

Celui-ci relate nos découvertes et nos expériences, nos rencontres et nos coups de coeur, de gueule aussi (rarement !) à l'occasion de notre séjour depuis août 2008 jusqu'en août 2012 sur "l'île intense", cette perle de l'Océan Indien, dans l'hémisphère Sud, l'île de La Réunion.

N'hésitez pas à nous laisser une trace de votre passage en déposant un commentaire sur ce que vous avez aimé ou non et à nous faire des suggestions.

Bonne lecture !!!

5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 14:47

concert-de-Palmas.jpg

 

Hier soir, nous sommes allés écouter Gérald de Palmas, au Théâtre de Plein-Air de Saint Gilles.


C'est dans un cadre exceptionnel, entre ciel, terre et mer (imaginez, le ciel étoilé au-dessus de vos têtes et la douce brise du soir qui apporte les odeurs iodées de l'Océan) que le chanteur a interprété d'anciennes chansons, dont quelques unes "rajeunies"  mais aussi de nouvelles chansons de son dernier album "Sortir". Le Théâtre bénéficie une excellente acoustique.

 

th Plein Air St Gilles 3

                                                                       Une vue du Théâtre de Plein-Air

 

 

Une belle complicité le liait à ses musiciens : Amaury à la batterie, David au clavier, Edouard à la basse et, toujours, Sebastien Chouard à la guitare.


En fait, Gérald de Palmas revenait dans son île natale. En effet, il est né à La Réunion d'une mère réunionnaise et d'un père breton et y a vécu jusqu'à l'âge de 10 ans. Il y a plein de souvenirs d'enfance qui inspirent quelques une de ses chansons (notamment, "Elle danse").


Ci-dessous le clip de sa chanson "Mon coeur ne bat plus" qui a été tourné à La Réunion en janvier dernier. On y reconnaît certains sites de l'île (forêt de Bélouve, Bassin aux Aigrettes, etc...).

 

 

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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 10:45
Hier soir, nous sommes allés au concert de Charlie Winston. C'était dans une petite salle au Port, au Kabardock. C'était très intime, chaleureux (qu'est-ce qu'on transpirait, il faisait au moins 45° dans cette salle !), très dynamique. La salle était petite (800 places), tout le monde était debout, et le chanteur a pu déambuler parmi les spectateurs : c'était très sympa et on a vraiment passé un excellent moment... pour 15 € la place !

charlie winston

Charlie Winston a été révélé au public français en 2009 grâce à son single « Like a hobo ». Son album « Hobo » se classe parmi les meilleurs ventes de l’année 2009 en France.
 "Like a Hobo" signifiant "Tel un vagabond", c'est bien dans un esprit de vagabondage musical que Charlie Winston a écrit son premier album. Empruntant à la tradition folk, mais aussi au rock, au blues, à la soul et à la pop, les morceaux de Hobo dévoilent un artiste de 30 ans déjà mûr pour la reconnaissance. Guitariste et pianiste, Charlie dispose d'une voix immédiatement reconnaissable et d'un réel sens de l'interprétation.


En 1ère partie, nous avons pu découvrir Jim Fortuné, un chanteur réunionnais qui aime à nous montrer du pays au travers de ses chansons créoles. Sa musique est un mélange de maloya, de bossa et de samba, portant les couleurs de l'Océan Indien : Salégy, Séga mauricien ou seychellois, Maloya réunionnais...

 

La salle :

Doté d'un équipement unique sur l'île de La Réunion, le KABARDOCK est un véritable lieu de création et de répétition à disposition des artistes, rassemblant sur un même site trois studios de répétitions, un studio d’enregistrement et trois salles de spectacle aux identités différentes offrant la possibilité d’accueillir toutes les variantes envisageables pour un spectacle de musique actuelle.

 

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10 août 2009 1 10 /08 /août /2009 11:35



Ké Sa Ko ?
C'est un festival de musique, la 6ème édition cette année. Il se déroule durant 5 jours, du 5 au 9 août 2009.
En plus de quelques belles têtes d'affiches, s'ajoute des découvertes artistiques et des groupes locaux, de la zone Océan Indien.
Il se déroule sur le front de mer à Saint-Pierre, une ville du Sud. Imaginez : 4 grandes et belles scènes, installées en bord de mer... En plus de la musique, on a la vue sur l'Océan et l'odeur salée des embruns... Sans oublier le vent !
Bref, une ambiance tropicale...

Se succèdent des concerts gratuits et payants : pour une journée de musique, cela revient à 26 €. Le tarif est dégressif suivant le nombre de jours auxquels on veut participer.
Pour vous faire une idée, voici le nom des artistes les plus connus présents lors de cette manifestation :

- Kaf Malbar (Réunion / dancehall)
- George Clinton (USA / Funk)
- Mélissa Laveaux (France-Canada /folk)
- Mayra Andrade (Cap Vert / Sono mondiale)
- Khaled (Algérie / Raï)
- Zaza Fournier (France / Chanson réaliste)
- Anis (France / Chanson métissée)
- Olivia Ruiz (France / Pop Rock)

Nous avons quant à nous choisi le dernier jour, le dimanche 9 août, et avons eu le plaisir d'écouter les artistes suivants :







- Tumi and The Volume (Afrique du Sud (Hip Hop) : très mélodieux
http://www.myspace.com/tatv












- Rupa & The April Fisches (USA / Latin folk) : très dynamique, musique polyglotte, à la fois mariachi, milonga, musette et folk
www.myspace.com/aprilfishes









 

 

- Danyel Waro (Réunion / maloya) : une figure musicale ici, c'est le porte-parole de la culture réunionnaise par sa musique, le maloya. Il se sert d'instruments traditionnels, essentiellement des percussions. C'est une musique de complainte, chantée à l'origine par les esclaves. Longtemps interdite, cette musique avait disparu avant d'être redécouverte par des auteurs-compositeurs tels Danyel Waro. Personnellement, j'adore !






- Grace (USA / folk) : gros succès pour cette chanteuse multi-cultures et multi musiques !
www.myspace.com/graceinmusic













- Ayo (Nigéria-Allemagne / Soul folk reggae) : on ne présente plus cette artiste, que les festivaliers sont venus nombreux pour écouter. Un peu déçus de sa performance, ses chansons n'en finissant plus et traînant en longueur en d'interminables improvisations... Elle était sans doute un peu démotivée par l'hospitalisation de son batteur. Dommage !





Après cette belle journée consacrée à la musique, on peut dire : c'est SA KI FO !!!

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1 juin 2009 1 01 /06 /juin /2009 07:04



Nous sommes allés à un concert de l'Ensemble Instrumental de Bourbon, à l'église du Chaudron.

Au programme : la Symphonie n° 40 en sol mineur (kv 550) de Wolfgang Amadeus MOZART et le Concerto n° 3 pour piano et orchestre (op. 37) de Ludwig VAN BEETHOVEN.

L'Ensemble Instrumental de Bourbon est un orchestre symphonique d'amateurs, qui a été créé en 1983.
Il donne deux séries de concerts par an. Il accompagne des solistes locaux dans des programmes classiques variés, allant de J.S. BACH à GERSCHWIN en passant par MOZART et RACHMANINOV.

Nous avons écouté pendant plus d'une heure et demie de la très bonne musique, dans une curieuse église dont la forme ronde donne une acoustique exceptionnelle.


Philippe HOAREAU au piano, sous la direction de Jean-Luc TRULES

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24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 09:16

Nous sommes allés hier soir au Théâtre de Champ Fleuri à Saint Denis, à la dernière des 3 soirées consacrées au film d'aventure, en présence des aventuriers.

La première soirée du jeudi 21 mai était consacrée à deux films, l'un "Babouche, un Catamaran pour l'Arctique", l'aventure d'un petit bateau qui a relié sans moteur l'Océan Pacifique à l'Océan Atlantique en passant par le Spitzberg et l'autre "Paris-Jérusalem : 6 000 km à pied", sur l'aventure d'un couple qui, en guise de voyage de noces, décide de faire ce pélerinage, sans un sou en poche, cheminant à travers 14 pays, gravissant des montagnes, traversant des régions en guerre, franchissant des zones désertiques, dormant à la belle étoile...

Le programme du vendredi 22 mai comprenait un premier film, "Sous les Etoiles du Pôle", l'aventure d'un couple engagé dans une mission scientifique internationale sur l'évolution de la banquise et le réchauffement climatique, et qui a passé 4 hivers sur leur bateau au milieu des icebergs, des aurores boréales et des ours blancs. Leur petite fille est née pendant cette aventure. Le second film, "En courant sur les Chemins du Monde", relatait l'aventure de Jamel Balhi, qui a déjà couru plus de 450 000 km et traversé 175 pays et qui continue son tour du monde en courant et en rencontrant des peuples et des civilisations qu'il prend en photo avec beaucoup d'humanisme et de poésie.


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La soirée à laquelle nous avions choisi de participer projetait les films suivants :

- "Berhault", un film-hommage à Patrick Berhault, un grand alpiniste qui forçait l'admiration de tous. Alors qu'il tente en avril 2004 de rallier les 82 sommets de plus de 4000 m des Alpes, il chute, laissant la montagne orpheline. Durant ses trente ans de "carrière", Patrick Berhault a collectionné les réalisations originales, les premières spectaculaires et les entreprises d'envergure, tout en imposant son humanité, son humilité et son éthique. De l'escalade à l'alpinisme en passant par la danse-escalade dont il est le précurseur, il avait fait de sa vie une perpétuelle aventure. Ce film est un portrait intimiste d'un homme rare. Il regroupe des témoignages exceptionnels de ceux qui l'ont connu et qui nous aident à mieux comprendre la personnalité, les engagements et les choix de cet alpiniste hors norme. qui avait fait pour la première fois la traversée des Alpes en 157 jours.

Son grand ami, Patrick Edlinger était présent

Nous avons vu de superbes images des sommets enneigés des Alpes et des falaises d'escalade. Etaient présents Gilles Chappaz, le réalisateur du film qui avait beaucoup tourné avec lui et Patrick Edlinger, son ami de toujours, son "frère", avec qui il avait fait de nombreuses courses de montagne et d'escalade. C'était très émouvant.

  




- "La Course Intérieure", film qui se passe également dans les Alpes, consacré à l'UTMB, l'Ultra Trail du Mont Blanc. Avec ses 166 km, ses 9400 m de dénivelé positif et ses 10 cols à franchir, l'UTMB est la soeur jumelle du Grand Raid de la Réunion. Les difficultés et l'engagement sont comparables, tout comme l'émotion et le bonheur de l'arrivée. Seuls changent les paysages. Et quels paysages ! Là aussi, nous en avons pris plein les yeux.

Les concurrents traversent trois pays (France, Suisse, Italie) et affrontent 9400 km de dénivelé, soit deux fois l'ascension de l'Everest depuis le camp de base ! Ils ont toujours une vue sur le Mont Blanc, autour duquel tourne la course.
Les traileurs ont 46 heures, délai maximum, pour avaler le tracé. Le premier fait la course en 21 h. Sur 2500 raiders au départ, seuls la moitié passent la ligne d'arrivée. Les autres abandonnent en chemin, soit pour cause de blessures, soit par épuisement physique ou psychologique.

Les vainqueurs de cette course sont toujours, étrangement, des cinquantenaires bien tassés. Est-ce à cause de leur expérience, de leur connaissance de soi, de leur manière de doser leurs efforts, de leur sagesse ? Sauf qu'en 2008, c'est un jeune espagnol de 20 ans, l'âge minimum pour participer à l'UTMB, qui a passé la ligne d'arrivée le premier... Pour son premier ultra-trail et en bouclant le parcours pour la première fois en moins de 21 h (20h 56 mn).

J'ai revu des endroit, comme le col Ferret, où j'étais passée quand j'avais fait la randonnée du Tour du Mont Blanc (TBM pour les initiés) en... une semaine !!!

Sur les 34 coureurs Réunionnais qui ont participé au Trail, 8 étaient présents dont Thierry Chambry, vainqueur 2007 du Grand Raid de la Réunion. Ils ont gentiment et simplement répondu à nos nombreuses questions. 
La prochaine course de l'UTMB se déroule du 25 au 30 août 2009. Avis aux amateurs !


    

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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 13:58

Pendant la semaine de vacances des enfants, nous sommes allés mercredi dernier au Piton Maïdo tôt le matin, pour voir le cirque de Mafate avant l'arrivée des nuages, et passer l'après-midi sur la plage de l'Hermitage. Nous étions tous les 5, ainsi que 2 copains de Quentin, dont l'un était accompagné de sa maman et d'une copine de sa maman, qui nous connaissions déjà toutes les deux.

Nous partons sous une pluie fine (on dit qu'il "farine" ici), en se disant que dans l'ouest, il ne devrait pas pleuvoir... Nous avons raison : en quittant Saint Denis, on laisse la pluie, mais le temps reste gris. Sur la route du littoral, nous apercevons un groupe de 7 ou 8 dauphins qui s'amusent (ou se nourrissent ?) à une dizaine de mètres du bord...Dommage, on ne peut pas s'arrêter pour faire des photos...

A partir de Saint-Paul, la route menant au Maïdo est très belle, avec des paysages changeant au fur et à mesure qu'on prend de l'altitude : tout d'abord, nous voyons des poinsettias géants dans les jardins mais aussi à l'état sauvage (je n'ai jamais vu des bractées si grandes ! Ici, ce sont de véritables arbres...), puis, après les champs de géraniums de la Petite France et ses quelques distilleries (pour en faire des huiles essentielles), on traverse des étendues de mimosas (qui embaument l'air), puis de tamarins qui forment une sorte de forêt chevelue.


  

 

Mimosa parfumé...


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                 Poinsettias

A notre arrivé au Maïdo, à 2205 m. d'altitude, on surplombe le cirque de Mafate d'environ 1500 m. Imaginez un peu la vue plongeante sur cette région perdue et ses quelques îlets... Le cirque n'est accessible qu'à pied, par de petits sentiers de montagne. Aucune route n'y mène. Il est approvisionné par hélicopère. Malgré son isolement, le cirque compte environ 700 habitants, vivant dans des conditions très simples.


                                Vue du Maïdo sur le cirque de Mafate



Nous profitons d'une vue entièrement dégagée sur le cirque, ce qui n'est pas courant... Nous voyons même, à travers quelques nuages, le Piton des Neiges. Mais cela ne dure pas : peu de temps après notre arrivée, le temps se dégrade. On entend tonner au loin et il commence à pleuvoir... En 2 ou 3 mn, toute la vue sur le cirque est obstruée par de gros nuages...



             Paysages grandioses du cirque de Mafate et de ses îlets...




                                La Rivière des Galets (au centre de la photo)




                              Les îlets de la Nouvelle et de Roche-Plate

Nous voulions pique-niquer sur la Route du Maïdo où il y a de nombreux kiosques, mais comme il continue à pleuvoir, nous allons sur la Plage de l'Hermitage, où il ne pleut pas, mais où il y a du vent.
Après s'être régalés d'un bon cari préparé par Corinne, composé d'un zambrocal (riz, haricots rouges, oignons, ail), accompagné d'un rougail saucisses, les garçons se baignent et jouent au foot. Nous nous reposons et papotons. Le vent se lève à  nouveau et nous devons lever le camp, lassés par le sable qui s'infiltre partout et refroidis par le vent.
L'après-midi se termine à la maison, devant un bon café, accompagné d'un gâteau ti'son (à la farine de maïs) et d'un ananas Victoria.



     
      L'ambiance mystérieuse de la forêt de tamarins des Hauts dans la brume...




            Quelques petits poneys qui broutent le long de la Route du Maïdo
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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 06:49

Nous sommes allés hier dimanche, à une exposition du plasticien Fred THEYS, intitulée ZOMBRI, à l'Artothèque de la Réunion.

Ce sont des oeuvres exécutées sur toile de jute, bois ou carton. Le support est ensuite peint et y sont collés des résidus de matières brutes, comme de la terre, des brindilles, des racines, des feuilles d'arbres... Cela donne des tableaux contemporains d'où se dégage une sensation de légèreté enfantine. 

Les Zazous sont des compositions, des peintures, effectuées en milieu naturel : sur un galet, un tronc d'arbre, une pierre, une feuille d'arbre, un champignon,... en se servant du relief et des défauts du support. Cela donne des résultats étonnants et éphémères que chacun peut découvrir au détour d'un chemin...

Voici quelques oeuvres :




















Quelques Zazous :



sur galet...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

sur tronc...













                   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 sur feuille...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




















 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

sur champignon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rigolo, non ??.

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25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 15:40

Nombreux ont été les personnages illustres à venir découvrir, par curiosité ou intérêt mercantile, cette île d'exception située si loin de la France, mais peu ont vécu au plus près les préoccupations des autochtones, comme Louis-Antoine ROUSSIN, en se dévouant totalement à faire connaître par son talent d'artiste, les difficultés, les espoirs et les drames des nouveaux habitants de l'île de la Réunion, anciennement île Bourbon, Mascareignes, Bonaparte, lors de leur arrivée forcée (esclavage) ou choisie (engagés).

Ainsi le musée Léon Dierx consacre une exposition tout à fait remarquable à cet artiste du 19ème siècle qui a reproduit les moments forts de l'histoire de ces populations immigrantes.

Né le 3 mars 1819 à Avignon, L-A Roussin est à son époque un artiste moderne, passionné de lithographie, de photographie et d'imprimerie. Il nous fait revivre par ces techniques le passé de l'île au travers de scènes quotidiennes, de paysages, de bâtiments, et approfondit notre connaissance de sa flore et de sa faune exceptionnelles. Il y décède le 18 septembre 1894. Toute son oeuvre est à découvrir dans son célèbre "Album de la Réunion" (1857).

 



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25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 15:26
Deux concerts très différents dans leur registre et leur environnement nous ont enchanté en cette fin d'année.

Le Dimanche 15 décembre 2008, dans la petite salle Don Bosco, l'artiste lyrique Marguerite Popa, soprano, accompagnée au piano par Michel Amadieu, nous ont proposé des airs de musique baroque "De Vivaldi à Mozart". Interprétant à merveille et au plus près du public des oeuvres de compositeurs italien (Antonio Vivaldi), anglais (Henry Purcell), allemand (Georg-Friedrich Haendel), et autrichien (Wolfgang-Amadeus Mozart), les deux artistes ont donné à l'assistance un récital haut en couleurs.

Au contraire, dans un lieu beaucoup plus consacré, en la Cathédrale de Saint-Denis, la soprano Cäcilia Boyer-Mertes accompagnée à l'orgue par Alain Roger, ont privilégié les oeuvres de Noël, en ce dimanche 22 décembre 2008, à la veille des fêtes. Installée près de l'organiste, l'artiste a mis en valeur, grâce à son talent reconnu, l'acoustique exceptionnel de l'endroit dans l'évocation d'oeuvres religieuses affirmées : chants grégoriens, Magnificat de J-S Bach, Messie de G-F Haendel, Joseph Haydn, sans oublier le "Minuit chrétiens".

 

 

 



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8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 17:33

Folle ambiance en cet après-midi du lundi 29 décembre 2008 au XX ème Meeting Internationnal de Natation de l’Océan Indien dans le bassin de Plateau Caillou à Saint Paul.

Nous y avons retrouvé les meilleurs mondiaux français et étrangers qui s‘étaient distingués quelques mois auparavant aux J.O. de Pékin.

Alain BERNARD, Laure MANAUDOU, Frédéric BOUSQUET, Coralie BALMY, pour n’en citer que quelques-uns étaient bel et bien là pour assurer le spectacle, dans la bonne humeur.

Et malgré une fin de saison chargée, malgré des lieux plus enclin au farniente, ces athlètes ont multiplié les performances :

- record d’Europe du 100 m papillon pour Diane BUI DUYET (FRA)
- record 
de France du 4x400 m nages libres dames par le C.N.Marseille (L.MANAUDOU) devant l’équipe de Picardie

- record de France du 200 m brasse dame pour Sophie DE RONCHI

- record  de France du 4x200 m nages libres messieurs par le C.N.Marseille (F.BOUSQUET).

 

Les jeunes licenciés ont été ravis des séances d’autographes et de photos avec leurs idoles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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