Aujourd'hui, Quentin avait deux épreuves (!) :

1) Mathématiques, de 8h à 12h (coefficient 7, tout de même ! Faut pas se planter...).

Il n'a pas eu le temps de tout faire, mais a bien sélectionné les questions qui rapportent le plus de points.

2) et Espagnol, à l'écrit, de 16h à 18h (coefficient 2) : un premier travail sur un (long) extrait d'un livre de Andreu Carranza, "Imprenta Babel" avec des questions de compréhension et un extrait à traduire et un second travail avec un petit texte à composer.

Quentin a trouvé cela facile.

                  Quelle journée !

Demain, c'est la dernière ligne droite !!!

Perle du bac : "La France compte 60 millions d'habitants dont beaucoup d'animaux."

Aujourd'hui, de 10h à 14h, c'était les épreuves d'Histoire-Géographie (coefficient 3).

Les sujets proposés étaient les suivants :

Histoire :

- Sujet 1 - Composition - Economie, société et culture en France, depuis la fin des années 1950

- Sujet 2 - Composition - La colonisation européenne et le système colonial, du milieu du XIXe au milieu du XXe siècle

- Sujet 3 - Etude d'un ensemble documentaire - Comment se termine la guerre froide ? (avec un tableau sur la puissance des Etats-Unis et de l'URSS à la fin des années 1980, un extrait du traité de Washington, un extrait d'un livre de Mikhaïl Gorbatchev, un dessin de presse de Plantu et un extrait d'un discours de Mikhaïl Gorbatchev)

Géographie : un croquis de géographie à réaliser

- Sujet 1 - La mégalopole japonaise : organisation de l'espace

- Sujet 2 - La façade atlantique des Etats-Unis : organisation de l'espace.

Les sujets en gras ont été choisis par Quentin.

Il était très content de lui : il connaissait parfaitement bien les sujets choisis.

Perle du bac : "Un septuagénaire est un losange à sept cotés."

Aujourd'hui, départ à 9h avec une copine et ses deux filles pour la plage.

L'avantage, sous les tropiques, c'est que, été comme hiver, on peut aller se faire dorer la pilule et profiter du magnifique lagon !!!!

Au programme : bronzage sur le sable blanc, sieste dans le hamac, et randonnées aquatiques avec masque et tuba, pour admirer, comme à chaque fois, les coraux verts, bleus, jaunes, oranges et violets, ainsi que les poissons de toutes les couleurs et de toutes les tailles. Très curieux, ils s'approchaient même très près de moi, quand je restais sans bouger à les regarder. Sublime !!!!

Voici quelques photos de la plage et du lagon :

Et voici quelques espèces de poissons que j'ai admirées : cette liste n'est pas exhaustive ! (ces photos ne sont malheureusement pas de moi : je n'ai pas d'appareil photo étanche !

      Poisson ange-empereur

    Poisson baliste-picasso

    Poisson chirurgien

    Poisson demoiselle

     Poisson porte-enseigne

    Poisson-flûte

    Poisson-clown de Maurice

    poisson papillon-cocher

                                                                         Récifs coralliens et poissons demoiselle

Ces poissons se nourrissent d'algues, de petits invertébrés, voire même de coraux durs.

Il y a un poisson que je n'ai pas vu : le poisson-pierre. Et heureusement pour moi !

Il peut rester immobile des heures, comme les pierres (d'où son nom).

De plus, ils sont invisibles, se confondant avec le fonds rocheux.

Leur crête dorsale en forme d'aiguille injecte, quand on marche desus, un venin neurotoxique, myotoxique et à effet hémorragique. La douleur est très intense. La mort peut survenir par paralysie diaphragmatique, arrêt cardiaque ou choc histaminique.

Le meilleur moyen pour l'éviter, c'est encore de ne pas poser les pieds sur le fond. Ou de bien regarder avant de le faire. De plus, cela évitera d'abîmer les coraux !

                                                                                             Poisson-pierre

Les holothuries, notamment le cordon mauresque et l'holothurie noire , sont les grands nettoyeurs du récif. Ils se nourrissent de coraux morts qu'ils décomposent et dont les déjections vont constituer les nouveaux sédiments. On les voit fréquemment immobiles, sur le sable. Ils ne sont pas beaux, mais indispensables !

  Cordon-mauresque

   Holothurie noire

Voici les coraux que j'ai pu voir :

Corail arborescent

Corail branchu

Corail digité

Corail tabulaire

                                                Coraux     

Le lagon de La Réunion est un petit lagon de douze kilomètres carrés qui s’étend sur une quarantaine de kilomètres le long du littoral de la côte ouest.

Depuis février 2007, une réserve naturelle marine a été créée pour protéger le lagon dont les récifs se dégradent. Ces récifs sont aujourd’hui considérés à 30 % dégradés et à 50 % menacés.

 
Les causes de sa dégradation sont multiples : piétinement du corail par les baigneurs et la pêche à pied, surpêche des poissons du lagon, rejet d’eaux usées, urbanisation.

Avec l’augmentation de la population réunionnaise, la pression sur le lagon qui offre les plus belles plages de l’île est croissante.

Avec l’arrivée de la réserve marine, La Réunion tente de changer les mentalités et les usages, grâce à une règlementation mais aussi en continuant le travail de sensibilisation mis en place depuis 1997 par l’association Parc Marin.

Photos : http://www.liledelareunion.com

            http://jean-marc.charel.pagesperso-orange.fr

Cette année, 11 000 candidats passeront le bac à La Réunion.

Notre 2ème fils, Quentin passe son bac S.

Il part déjà avec 28 points d'avance : 20 en français et 8 en EPS.

Aujourd'hui à 7h15 (!), c'est la première épreuve pratique "d'évaluation des capacités expérimentales de sciences physiques". Pour parler plus clairement, c'est l'épreuve de TP de physiques.

Durée : 1h - Coefficient 6 avec l'écrit.

Cela se déroule en 2 parties : l'épreuve de manipulation, notée sur 8 points, et des questions à répondre, notées sur 12 points.

Il n'a eu le temps de répondre qu'à 4 questions sur les 8, car il a été obligé de s'y reprendre à plusieurs fois pour la manipulation.

Perle du bac : "Un triangle est un carré qui n'a que trois bordures."

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle dans les Hauts et, encore un peu plus haut, le givre commence à couvrir le sol certains matins, comme hier au Piton de la Fournaise.

Il n’y avait certes pas des centimètres de neige dans la Plaine des Sables, à 2350 m d’altitude, mais une pellicule blanche, dissipée aussitôt le soleil sorti.

Renseignement pris avec Météo France, la température minimale au sol a atteint un peu moins de 1 °C dans la nuit de jeudi à vendredi à sa station du gîte du Pas de Bellecombe tout proche, ce qui explique la formation de givre. A distinguer de la température indiquée dans les bulletins grand public, relevée sous abri à 1 m de hauteur, qui est descendue à 5,6 °C au cours de la même nuit.

Bref, il faut songer désormais à s'équiper sérieusement lors des randonnées en montagne.

Les températures ont diminué en moyenne de 5°C : c'est à dire que la journée, il fait 28° au lieu de 33° (à l'ombre) et la nuit, 22° au lieu de 27° à Saint Denis... Ce qui reste tout à fait agréable, n'est-ce pas ?

Ah, l'hiver austral et sa douceur !